Professeure France Lambert : « Assurer le succès implantaire à long terme »
Comment les tissus mous péri-implantaires réagissent-ils aux différents types d’implants ? France Lambert, professeure en parodontologie, chirurgie bucco-dentaire et de biomatériaux dentaires à l’Université de Liège, s’est penchée sur la question. Chez ProScan, nous livrons les piliers sur mesure que l’équipe du professeure Lambert dans le cadre de ses recherches.
Composants expérimentaux sur mesure
Pour bien comprendre la collaboration scientifique qui existe aujourd’hui entre la Professeure Lambert et Proscan, il faut remonter le fil de plusieurs années. « Au moment où l’identification de partenaires de recherche a commencé, ProScan était reconnu comme un acteur engagé dans le monde dentaire belge », explique la Professeure Lambert.
« Pour le développement de nos projets scientifiques sur le long terme, cependant, nous recherchions un partenaire qui, en plus des solutions cliniques générales pour les praticiens, souhaitait également se concentrer sur des pièces expérimentales adaptées à leurs objectifs de recherche. Les équipes de Proscan ont immédiatement adhéré à notre objectif. Après les premiers contacts, nous avons pu visiter de manière approfondie leurs installations et peu de temps après, la collaboration était lancée. »
Une recherche en deux phases
« L’objectif de notre recherche est de garantir une rééducation optimale des implants à long terme pour le patient, mais aussi de développer des lignes directrices cliniques claires pour le praticien. »
Les recherches de la Professeure Lambert et de son équipe se déroulent en deux phases. « Au cours de la première partie de l’étude – qui a depuis été publiée – nous avons utilisé les conceptions expérimentales de ProScan pour explorer l’interaction entre les composants dentaires et les tissus mous chez le patient, et ce, dans un cadre clinique humain. Nous avons ensuite intégré cette méthodologie dans un modèle de recherche. »
« La deuxième partie de nos recherches bat encore son plein. Sur la base de notre modèle de recherche précédemment développé, nous étudions comment différents matériaux, tels que le titane, les polymères et les matériaux en céramique, couramment utilisés en dentisterie, interagissent avec les tissus mous du patient. Par exemple, nous examinons également comment différentes finitions, telles que les surfaces polies, affectent cette interaction biologique. »
De la conception jusqu’à la validation
Afin d’arriver aux composants dentaires souhaités, nous avons d’abord élaboré une conception en consultation avec la Professeure Lambert. Suite à quelques premières adaptations et la première validation, les premiers tests pratiques ont eu lieu au sein de l’Université de Liège. Ensuite, après un certain nombre d’ajustements supplémentaires et la validation finale, nous avons produit plusieurs versions avec lesquelles l’équipe de recherche a pu travailler.
« Malgré le contexte particulier de la recherche, l’équipe Proscan a réussi à développer des conceptions personnalisées très abouties. De plus, grâce à son grand intérêt pour les développements dentaires futurs, nous avons particulièrement apprécié sa disponibilité, son soutien et sa réflexion continue avec notre équipe. Il s’agit pour nous d’une base très enrichissante qui amènera forcément à de belles collaborations dans le futur. »
Prêt pour une collaboration révolutionnaire ?
Le secteur dentaire continue de nous surprendre avec des technologies révolutionnaires et des nouvelles perspectives enrichissantes. Nous sommes donc très heureux de soutenir des recherches comme celles de la Professeure France Lambert et de son équipe. Dentiste, laboratoire ou chercheur avec une belle proposition ou un cas intéressant ? Nos denticiens ProScan sont à votre disposition. Contactez-nous pour plus d’informations ou pour organiser un rendez-vous.